La danse... L'art qui me permet de bouger notre corps librement. Je ne suis pas trop douée dans ce domaine. Pourtant, j'essaye de m'en sortir. Je sais qu'un jour, je finirai par réussir à combattre toutes les difficultés que je rencontre en ce moment. Je n'ai pas peur d'affronter les obstacles qui me font face. S'ils m'ont accepté en tant que trainee, c'est qu'ils me font confiance. Je me dois de leur prouver qu'ils n'ont pas tort. Je veux devenir l'une des meilleures, l'une des plus grandes artistes de l'Eita Entertainment. Je suis avec mon amie Minamoto Sei et nous nous entraidons dans ce combat. On y arrive mieux à deux que toute seule. La brésilienne est une bonne copine à moi en qui je peux avoir confiance. Elle n'est pas ici pour m'enfoncer un couteau dans le dos. Elle est présente si j'ai besoin de conseil et vice-versa. « Mesdemoiselles Minamoto et Fujiwara, je suis venu ici pour vous dire que vous faites maintenant partie de l'unité ''Papuru'' » Je regarde la personne qui venait de nous faire face pour nous dire cette nouvelle. Je suis choquée, stressée. Je ne comprends pas ce qu'il se passe. « Félicitations et courage. » Je regarde l'homme partir sans nous regarder. J'étais au courant qu'il y avait des unités qui allaient devoir faire leur preuve pour débuter, mais je ne pensais pas que j'allais être dans l'une des unités. J'ai toujours pensée qu'il me fallait encore de l'entraînement avant de pouvoir rêver. Dès aujourd'hui, je vais pouvoir le faire. Je vais pouvoir rêver et m'y accrocher de toutes mes forces. « Je rêve où il a bien dit ce que je pense ? » Je saute dans les bras dans ma partenaire en souriant de toutes mes forces. Il va falloir que je téléphone mon grand-frère pour lui annoncer la nouvelle. Il risque de me dire de rester concentrer, que c'est un coup de chance... mais, il me stimule en faisant ça. Il sait que je peux très vite passer à côté de la meilleure occasion, alors il me casse jusqu'à ce que je lui prouve que j'ai réussie. Voilà comment il est. « Woooow, je ne m'y attendais vraiment pas. Il est sérieux ? » Je ne suis pas bien, je tremble. J'ai envie de pleurer mais je n'y arrive pas.
ootd ➸ Ton énième entraînement se terminait. Le souffle court, un sourire se tint rapidement sur ton visage. Tu étais satisfaite par cette performance que tu venais de réaliser. Tes quelques notions de gymnastes t’aider. Mais tu doutais que ce soit ces notions qui t’ont fait attire à Eita. Cependant, tu étais reconnaissante de ce que Dieu t’offres opportunités. De plus, ces opportunités t’ont permis de faire des rencontres merveilleuses. Comme ta collègue Akasuki. Tu n’étais pas de celle qui était facilement sociable depuis que tu as mis les pieds dans le pays. Trop extravagante, ou alors ton accent parfois prononcé… Les raisons peuvent être multiples. Mais avec Aka, c’était différent et sa compagnie t’était agréable. Il faut dire dans cet avenir plus qu’incertain dans lequel tu t’es engagée, la japonaise t’a souvent aidé dans ton ascension.
Lorsque vous fûtes convoquées par vos supérieurs, un anneau serrait ton estomac. Tu ne voyais jamais de telle chose de bon augure. Pourtant, à cet instant, tu restais inerte et abasourdie à l’annoncer de la sélection dans l’un des prochains groupe de l’agence. Les mots résonnèrent dans ta tête. Rapidement, tes lèvres rosées s’étiraient, exprimant ta joie. Recevant ton amie dans tes bras, tu la serrais contre toi, sentant l’euphorie vous gagnez l’une comme l’autre. Je la prenais par les épaules pour la regarder.
▬ Aka-chan ! Tu te rends compte, ca veut dire qu’on débutera ensemble. C’est mieux qu’un rêve
Tu la reprenais contre ton buste, ne réalisant toujours pas. Être dans le même groupe qu’une de tes amies proches, c’est mieux qu’un rêve. Au moins, tu étais sure d’apprécier un membre de groupe futur. Tu la liberais de ton emprise, adoptant une moue en la frappant sur le bras
▬ Et pourquoi tu ne t’y attendais pas ? Idiote, tu es extrêmement douée, ce n’est pas surprenant qu’on t’est choisi
Contrairement a toi, qui a encore besoin de travailler - même si l’agence ne semblait pas le penser. Tu attrapais ses douces, les emprisonnant entre tes doigts
▬ Il faut qu’on aille fêter ça ! Qu’on célèbre cette chance unique qui nous a été offerte. Et c’est non négociable
Elle a raison. Je m'inquiète pour rien. D'habitude, je suis une personne qui prend des risques, mais j'avais tout simplement peur d'être virée de l'Eita Entertainement. Pourquoi ? Je ne veux pas que mon rêve me passe sous le nez pour diverses raisons. Je ne veux pas décevoir le grand-frère, qui lui, est devenu un grand artiste comparé à moi. Il faut que j'arrête de me prendre la tête, je me dois de faire la fête comme il se faut. J'ai le droit de prendre quelques pauses. J'ai le droit de m'amuser quand l'occasion se présente. Je hoche la tête en écoutant Sei me faire une petite leçon de morale. « Tu as tout fait raison, je dois arrêter de me prendre la tête et d'avoir peur pour rien. » Nous allions aller fêter ça comme il faut. Qu'est-ce qu'il nous faut pour faire la fête comme il faut ? De la nourriture, de la boisson et de la bonne musique. « Sei-chan, allons faire les courses maintenant comme ça nous pouvons être tranquille. » Je la prends par la main et la tire pour aller dans le magasin du coin. Nous avons marché quelques minutes puis nous sommes rentrées dans le premier commerce que nous avons croisé. Je suis impatiente de pouvoir débuter la petite ''soirée'' qui aller commencer dans très peu de temps. J'arrive vers les gâteaux. Je regarde attentivement toutes les propositions que le magasin avaient mis en avant. « Tu veux un moelleux au chocolat ? On devrait inviter les autres qui sont maintenant membre de l'unité ! Tu as leur numéro ? » Toujours les mains liées avec elle, j'attends sa réponse avant de pouvoir enfin de réellement commencer les courses.
ootd ➸ « On va pouvoir s'entraîner ensemble pendant des heures. » Tu hochais vivement la tête. Cette idée te procurait une joie intense. C’était une si belle opportunité qu’on vous avait offerte à toi et ton amie. Lorsque tu l’entendais dire que son travail laissait à désirer, tu exprimais aisément ton mécontentement.
▬ Arrête de faire la rabat-joie. Tu danses comme une reine et tu as une voix d’enfer. C’est plutot à moi de dire que j’ai besoin de beaucoup travailler
Comment pouvait-elle se sous-estimer ainsi. Ca fait bien des mois que tu l'observes donc tu sais ce que tu vois. Tu ne la complimentes pas pour la forme, tu le penses vraiment. S’il y en a bien une de vous deux qu’était bosseuse, c’était bien Aka. En tout cas, c’était un nouveau succès à fêter. Cependant, tu sentais bien la réticence de ton amie.
▬ Roooh mais il faut prendre parfois des risques dans la vie. Je pensais que tu étais de ses personnes
Dis-tu presque déçue. Tu aimais vivre à 100 à l’heure. Pourquoi pas elle.
▬ Et puis qu’est ce qu’il y a de mal à fêter une bonne nouvelle ? Tu penses que ça reflète notre boulot.
Il faut apprendre à s’amuser un peu dans la vie. Tu lui passais un bras autour de son épaule et la regardait tout sourire
▬ Écoute, on peut prétendre faire quelques courses et acheter de quoi faire la fête, t’en pense quoi ?
Elle a raison. Je m'inquiète pour rien. D'habitude, je suis une personne qui prend des risques, mais j'avais tout simplement peur d'être virée de l'Eita Entertainement. Pourquoi ? Je ne veux pas que mon rêve me passe sous le nez pour diverses raisons. Je ne veux pas décevoir le grand-frère, qui lui, est devenu un grand artiste comparé à moi. Il faut que j'arrête de me prendre la tête, je me dois de faire la fête comme il se faut. J'ai le droit de prendre quelques pauses. J'ai le droit de m'amuser quand l'occasion se présente. Je hoche la tête en écoutant Sei me faire une petite leçon de morale. « Tu as tout fait raison, je dois arrêter de me prendre la tête et d'avoir peur pour rien. » Nous allions aller fêter ça comme il faut. Qu'est-ce qu'il nous faut pour faire la fête comme il faut ? De la nourriture, de la boisson et de la bonne musique. « Sei-chan, allons faire les courses maintenant comme ça nous pouvons être tranquille. » Je la prends par la main et la tire pour aller dans le magasin du coin. Nous avons marché quelques minutes puis nous sommes rentrées dans le premier commerce que nous avons croisé. Je suis impatiente de pouvoir débuter la petite ''soirée'' qui aller commencer dans très peu de temps. J'arrive vers les gâteaux. Je regarde attentivement toutes les propositions que le magasin avaient mis en avant. « Tu veux un moelleux au chocolat ? On devrait inviter les autres qui sont maintenant membre de l'unité ! Tu as leur numéro ? » Toujours les mains liées avec elle, j'attends sa réponse avant de pouvoir enfin de réellement commencer les courses.
minamoto sei & fujiwara akasuki
Je suis bête:
HS : J'ai fait l'idiote, en modifiant le rp d'avant au lieu de quoter ;-;
ootd ➸ Tu pouvais comprendre ses réticences. La peur qu’un rêve lui glisse entre les doigts. Pour cela tu ne lui en voulais pas. Mais faire une petite soirée entre filles n’est pas gage de flemmardise. Un peu de repos ne fait de mal a personne. L’émotion de la joie se lisait sur ton visage quand la jeune fille se laissait enfin bercer par l’aventure. Ses doigts entrelaçant les mien, je me laissais guider par la Japonaise dans l’épicerie du coin. Tes yeux jalonnais a chacun des rayons, te laissant toujours impressionner par les produits que ce pays pouvait proposer. Tu sortais rapidement de ta bulle en l’entente de la voix cristalline de la jeune fille. Un grand sourire sur tes lèvres tu lui répondais.
▬ Prends ce qui te fait plaisir. Je ne suis pas difficile. Mais on prend aussi un truc au goût de fraise
Tu serrais doucement le lien entre vos mains
▬ Mais non, désolée, je ne connais pas le numéro des autres
Honteuse, tu te frottais la nuque. Tu n’étais hélas pas énormément sociale malgré les apparences. Aka faisait partie des rares exceptions que tu appréciais et avec qui tu t’entendais à merveille. Rien que penser à ceci t’effrayait pour les autres membres.
▬ Je crois que pour le moment ça va être entre nous deux
Tu lui tirais légèrement la langue. Tu espérais quand même que ca ne la dérangeais pas. Tu lâchais sa main pour aller vers les boissons pour regarder quelque chose qui pouvait me faire chavirer
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